Le CCIF n’a depuis plus rien à prouver. Sa permanence téléphonique quotidienne, ses nombreux juristes à disposition des citoyens permettent désormais aux musulmans et aux musulmanes de pouvoir prétendre aux droits qui leur étaient auparavant refusés sans possibilité d’assistance juridique.
C’est ainsi qu’une étudiante, admise au concours d’entrée (écrit et oral) d’une école de commerce, s’était vue refuser l’entrée dans les locaux par la directrice apparemment indisposée par son voile.
Fort heureusement, la jeune femme a eu le réflexe de contacter un juriste du CCIF qui a immédiatement pris le dossier en main avant de s’entretenir avec le responsable du service juridique de l’école en question.
L’homme, croyant connaître les ficelles du métier, a alors fait référence à l’affaire Baby-Loup qui n’a aucun rapport avec le cas de l’élève. Preuve en est, cette sombre histoire aura conforté un peu plus les islamophobes de tous poils dans leurs convictions. Le juriste CCIF lui a donc rappelé l’ensemble des textes protégeant les diverses libertés dans l’enseignement supérieur.
Devant les faits et les lois, l’école de commerce a finalement informé l’étudiante qu’elle pourra se rendre à l’école avec son voile, et qu’elle pourra également le conserver lors de ses examens. Espérons que ce mauvais départ n’empêchera pas notre consœur de réussir brillamment ses études.
Salaam 🙂
Stop wronging Muslims, let them wear Hijab wherever and whenever they want
Salam alaykoum
Il faut avoir le réflexe de contacter le CCIF dès qu’il y a un problème, une discrimination.
Il faut aussi en parler de sois, et si on apprend qu’une soeur à des problèmes pour étudier dans le supérieur (fac, IUT, école de commerce) ou à suivre une formation pro, il faut lui tendre la main et lui parler du CCIF.