D’après les statistiques du recensement de 2011, les enfants sont plus susceptibles d’appartenir à une famille musulmane dans certaines villes britanniques. C’est ce qu’a publié le quotidien The Daily Mail qui a relevé une comparaison entre le nombre d’enfants ou d’adultes chrétiens et musulmans, dans différentes villes.
Selon ces chiffres, un enfant a plus de probabilités de grandir dans une famille musulmane que chrétienne, dans des villes telles que Birmingham, Bradford et Leicester. La démographie de la Grande Bretagne a donc totalement changé depuis ces dernières années puisque le nombre de musulmans croit considérablement, au vu des recensements.
En effet, si l’on prend le recensement de la ville de Birmingham où il y a 278 623 enfants, 97 099 d’entre eux sont de confession musulmane alors que 93 828 sont chrétiens. A Bradford, ce sont 52 135 jeunes dont 45% sont musulmans. Leicester quant à elle, compte 22 693 jeunes musulmans et 18 190 enfants chrétiens. Les chiffres sont encore plus parlants dans le quartier londonien de Tower Hamlets. En effet dans ce quartier, 62% des enfants sont élevés dans des familles musulmanes.
Bien que l’Islam soit la seconde religion de Grande-Bretagne depuis quelques temps déjà, ces chiffres soulignent le développement de la communauté musulmane. Qu’il s’agisse des flux migratoires venant de pays à majorité musulmane ou de la population musulmane déjà présente en Grande-Bretagne, l’Islam prend progressivement sa place dans la société britannique. Rappelons qu’en Grande-Bretagne, le prénom Mohamed a été le plus populaire en 2013, à l’image d’une communauté musulmane en pleine expansion al hamdouliLlah.
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Salam Aleikoum,
BarakAllahofikoum pour l’article intéressant, pourriez-vous svp citer vos sources.
Sinon j’ai noté qu’il y avait une petite faute à ce niveau : « A Bradford, ce sont 52 135 jeunes dont 45% sont musulmans et 47 144 sont chrétiens. »
Wasalamo Aleikoum
Al hamdoulillah. ma cha Allah
Al Hamdoulillah certes mais je ne vous pas l’utilité de cette étude si ce n’est faire peur aux anglais de confession chrétienne. Cette étude pourrait jouer en notre défaveur.