La quatrième session extraordinaire du sommet islamique mondial a débuté ce mardi 14 août en Arabie Saoudite. C’est la monarchie saoudienne qui a pris l’initiative d’organiser ce sommet, en choisissant la ville Sainte comme lieu de rencontre et la fin du mois béni de Ramadan comme date. Au programme du sommet, qui s’étale sur deux jours, mardi 14 et mercredi 15 août, la question syrienne occupe une place centrale. Outre la guerre en Syrie, c’est le massacre en Birmanie, et l’occupation de la Palestine qui seront également traités. Parmi les objectifs, il est aussi question de ressouder la solidarité et l’entente entre les pays musulmans, divisés sur la cause syrienne.
La Syrie, absente, mais au cœur du sommet
Ce sommet a pour but principal d’exercer au final une pression symbolique sur le régime de Bachar Al Assad. Cependant, cet objectif risque d’être compromis par les divisions internes à l’Organisation de Coopération Islamique qui regroupe près de 57 pays. Des pays qui divergent sur la question syrienne, certains étant alliés au régime au pouvoir, et d’autres soutenant l’armée syrienne libre.
La veille du sommet, au cours des réunions préparatoires, la suspension de la Syrie de l’OCI avait été proposée. L’Iran, allié du Gouvernement syrien n’a pas vu d’un bon œil cette annonce, et s’y oppose fermement. Le Ministre des Affaires Etrangères, Ali Akbar Salehi a déclaré être « ouvertement contre la suspension de n’importe quel pays ». D’ailleurs, la présence iranienne, par le biais de son président Ahmadinejad a surpris plus d’un, l’Iran étant majoritairement chiite et rival de l’Arabie Saoudite, pays sunnite. Les deux pays, puissances régionales, s’opposent totalement sur la question syrienne. Pourtant, il faut agir au plus vite. La crise en Syrie s’éternise et le bilan humain et matériel de cette guerre est désastreux, bien que certains annoncent une fin proche du régime syrien.
Le prince saoudien, Saoud Al-Fayçal a quant à lui, dénoncé la politique de la « terre brûlée » du Gouvernement syrien. D’autres souhaitent des mesures plus fermes et rapides contre le régime syrien en exigeant par exemple le départ du Président Bachar Al-Assad. Au final, les pays espèrent dégager une position claire relative à ce conflit qui perdure, et qui a provoqué la mort de plus de 21 000 syriens. Aucun représentant syrien n’a été envoyé au sommet.
L’occupation de la Palestine et le massacre en Birmanie
La question palestinienne, l’un des plus vieux dossiers de l’Histoire, est également à l’ordre du jour. L’objectif est de soutenir la cause palestinienne, et l’aider à freiner la colonisation agressive de l’Etat hébreux. Autre point récurrent : la création d’un Etat palestinien souverain. Pour cela, il faut exercer une pression sur Israël afin qu’elle cesse la colonisation, la judaïsation de la Palestine, et les violations des Droits de l’Homme.
Enfin, un dossier plus inédit est traité : le massacre sanglant de la minorité musulmane en Birmanie. La minorité musulmane, les Rohingyas, sont encore persécutés, sous les yeux de la communauté internationale, et sous l’impuissance de l’ONU.
Le sommet espère trouver une solution définitive avec la mise en place d’une commission d’enquête et l’envoi d’un « groupe de contact islamique ». Deux points positifs sur la question sont tout de même à noter. Samedi dernier, l’OCI a réussi à obtenir des autorités birmanes, l’autorisation d’envoyer des secours aux déplacés Rohingyas dans les camps. L’Arabie Saoudite a également débloqué une aide humanitaire de 50 millions de dollars aux victimes musulmanes en Birmanie.
Qu’Allah vienne en aide à tous les peuples opprimés du monde
Ce probleme syrienne est complexe das la mesure qu’il y deux ennemi a combatre pour que ne soit instalee en syrie un systeme autre que l’Islam.
Premier probleme: l’Occident veut derriere le dos saoudienne geter en syrie un systeme qui, si par malchance n’est pas purement occidental, soit la base d’un systeme qui laisserait libre cours possiblite du controle de l’occidrent en orient. Ce qui represente une menace contre l’Islam ( l’Occident n’est pas islamique et n’accepte pas l’islam comme direcition voulu par Dieu).
Deuxieme probleme: le sunnisme et le chiisme s’affrontent entre eux au detriment d’un des deux; mais pour s’affronter, ces deux formes diffentes de l’islam prennent chacune comme aide deux autres formes differentes et antagonistre entre eux, l’axe sino-Russe ennemi du capitalisme occidentale pour l’Iran et l’occident pour le Katar-Arabie. Or l’Islam a comme obstacle premier l’occident et l’axe sino-Russe. Ceci implique donc que l’Arabi saoudite et l’Irian doivent d’abord eviter que l’occident et l’axie sino-Russe ne les utilisent pas pour que la syrie ne devienne pas Occdento-Siino-Russe, et cela n’est possible que lorsque Ryade ne reduise l’excecivite de son animosite contre l’Iran et que teheran reduise la sienne contre Ryad. Tel est le cote cache du veritable probleme syrien.
Amiiine