Dounia Bouzar auto-proclamée « spécialiste du fait religieux » annonce le lancement d’une association chargée de lutter contre les dérives de ce qu’elle nomme l’islam radical.
En croisade contre l’islam radical
L’ancienne membre du Conseil français du culte musulman, aujourd’hui écrivain, anthropologue et membre de l’Observatoire de la laïcité s’est lancée depuis plusieurs mois dans le Chalghoumisme. Fervente opposante au niqab qu’elle considère comme une pratique non-islamique, elle est notamment l’auteur de « ALLAH a-t-il sa place dans l’entreprise », « La République ou la Burqa », et plus récemment « « Désamorcer l’Islam radical. Ces dérives sectaires qui défigurent l’Islam ».
Dans sa croisade, il y a quelques jours Dounia Bouzar a lancé le CPDSI, Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam. Interviewée par le journal La Croix, Dounia Bouzar explique « être face à un phénomène similaire à celui des sectes » et « entend fédérer travailleurs sociaux et spécialistes des dérives sectaires pour mieux prévenir les radicalisations« . Ainsi, des cellules d’alertes et de ressources verront le jour partout en France afin notamment d’accueillir, d’écouter et de partager avec les familles.
Pour mener à bien sa mission, Dounia Bouzar s’est entourée de personnels qu’elle estime qualifiés. Il est notamment question de Christophe Caupenne, ancien chef des négociateurs du Raid, Omera Marongui, sociologue de l’islam, Anne Fournier, ancienne experte auprès de la Miviludes organisme d’Etat de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.
Sur le plan financier, Dounia Bouzar compte sur l’engagement des hommes politiques, nationaux et territoriaux pour financer son association, bien sûr avec l’argent de vos impôts.
La stratégie de la peur ?
Pour percer et exister au sein du système politico-médiatique, deux stratégies sont assurément payantes.
Pour le non-musulman, l’islamophobie est un accélérateur de carrière. Ainsi, un homme politique au bilan pitoyable ou encore un journaliste en mal de popularité peut se voir propulsé en haut de l’affiche si celui-ci prononce des propos islamophobes et démontre son mépris pour les musulmans. Ces dernières années, on a pu voir des gens comme Elisabeth Levy, Véronique Genest ou encore Eric Zemmour se refaire une carrière.
Pour un musulman, l’accélérateur de carrière est la stratégie de la peur. Parler de menaces, d’extrémisme, de communautarisme, de terrorisme, d’islamisme, de radicalisation, de fait isolés auquel on ajoute une connotation islamique… devenir le porte parole de la réforme qu’attendent les non-musulmans pour enfin en finir avec cet islam ostensible, enfin un musulman qui parle comme eux.
Ces postures d’à-plat-ventrisme tenues par des promoteurs d’un islam de la serpillière sont des accélérateurs de carrière. De véritables boosters, à tel point qu’un homme comme Hassan Chalghoumi ancien membre actif du Tabligh ayant étudié au Pakistan, cible en 2004 d’une procédure d’expulsion en raison de son intégrisme est devenu du jour au lendemain une référence sur la question l’islam en France, cherchez l’erreur.
Dounia Bouzar est assez intelligente pour comprendre que son action au sein du CPDSI est vaine. Si radicalisation et dérives il y a, son association n’y pourra rien et encore moins avec un ancien du RAID. Les choses se passent sur le terrain et la rééducation passe par la mosquée. C’est en éduquant et en formant la jeunesse que cette dernière découvrira la profondeur et la richesse des enseignements de l’islam et ce travail est celui des Imams et professeurs en sciences islamiques au sein des mosquées et madrassas.
Par conséquent, si Dounia Bouzar est sincère dans sa lutte, il convient qu’elle incite les mosquées et responsables religieux à mettre en place de réelles stratégies d’éducation et de formation en sciences islamiques. Chiche !
Qu’Allah la guide
Salam. elle peut s-allier avec chalghoumi, tarek oubrou, mohamed sifaoui et bien d’autres, elle doit pas oublier que les chiens aboient et la caravane passe, cette con-vertie cherche la notoriété qu’elle n’aura jamais.
allahu musta3an
Jamais à cours d’idées cette personne. Parler de religion, d’exégèse, lorsqu’on n’est pas un scientifique de l’islam, c’est extrêmement prétentieux.
Sinon…j’ai manqué de faire une crise cardiaque en voyant l’image d’illustration de cet article…
je pense qu’elle veut surtout que l’on parle d’elle ! devenir une icône et se faire des koufars ! elle et totalement dans l’egarement
Une roquya pour madame svp
c’est devenu du bussiness de parler religion surtout islam, c’est vendeur!!! pourquoi s’en priver quand on ne craint pas Allah 3azawajal
Qu’Allah nous guide dans la droiture et nous aide a retrouver des valeurs saines!!!!
Je connais un Malien, il peut la désenvouter
Mdr chem chem qu’Allah nous Guide AMIN c vraiment grave ce qui se passe dans le monde entier ça ce n’est rien encore , c’est à cause de nous tout ça a cause de nos péchés faut retourner sérieusement à Allah et d’une façon sincère …. Qu’Il m’Entende
Jpense qu il faudrait eviter de publier ce genre d articles, c est tres enervant de savoir qu une « soeur » denigre la religion de ces ancetres… Cela attise une haine immense en nous. Donc il vaudrait mieux ne pas etre informé de ce genre de choses
Mdr… Cette femme est une shayatine tout comme ses consoeurs qui se disent « spécialistes » de ceci ou de cela et s’affublent de titres honorifiques. Ont elles oublié qu’elles ont des ancêtres qui furent peut être musulmans et fiers de l’être ?. Arrêtez de dire que ce sont des soeurs, ce ne sont pas des soeurs puisqu’elles détestent l’Islam, le voile, la barbe, etc
@ chemchem: pourquoi un malien?je ne pense pas que les personnes d’afrique noire est le monopole sur une chose aussi detestable que la magie?
quoi qu il en soit qu Allah la guide car cette femme est perdue…..
salam
ilya une dérive sectaire et il faut en parler dans la communauté mais la methode de cette personne n’ est pas bonne il faut un engagement des mosquées et des hommes connaisseurs de la religion et cette sœur est sincère dans sa demarche il faut q »elle reste vigilent que personne n’utilise ce centre pour stigmatiser les musulmans pratiquants
C’est plus que de à-plat-ventrisme, c’est aussi de l’opportunisme et de la cupidité. Durant la guerre de libération en Algérie, c’est les caractéristiques du parfait Harki.
Dounia Bouzar n’est spécialiste en rien, c’est une éducatrice (niveau troisième) avec une grande gueule et du toupet. C’est honteux pour le CFCM pour avoir accepté de siéger avec une personne pareille. Mais eux aussi sont des opportunistes qui ne représentent qu’eux même.
Ce soir elle était sur la cinq, c’était hilarant de la voir dire » C’est grave, elle a rechuté, je crois qu’on va faire une descente surprise chez elle »… Même l’inspecteur Tahar n’était pas aussi drôle. Et je vous dis pas ces dialogues qui ont du être écris et répétés, enfin du mauvais cinéma.
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