Ces derniers jours, plusieurs camps de roms ont été démantelés dans les villes de Lille, Lyon, Villeurbanne, La Courneuve, ou encore Marseille. A Lyon, 240 roms ont été expulsés à Bucarest, suscitant de vives critiques de la part des associations, et de certains hommes politiques.
Sur les traces de l’UMP
Manuel Valls justifie son acte par la nécessité de « fermeté ». Mais il a été rapidement accusé de mener une politique similaire à celle de l’UMP.
Le Forum Européen des Roms et des gens du voyages (Ferv) qui réunit les plus grandes ONG et les associations de Roms, a demandé au Président François Hollande de cesser les démantèlements des camps de Roms sans solution alternative. Ne pas les expulser sans solution alternative était pourtant une promesse de campagne de François Hollande alors candidat à la présidentielle.
La Commission Européenne a à nouveau placé la France sous surveillance. Mina Andreeva porte parole de la vice-présidente en charge de la Justice de l’union européenne a déclaré : « Les services de la vice-présidente en charge de la Justice Viviane Reding sont en contact avec les autorités françaises et analysent la situation pour s’assurer que les règles européennes sont respectées ».
Le Parti Socialiste et notamment Manuel Valls qui critiquaient sévèrement Nicolas Sarkozy sur le dossier des Roms agissent avec le même arbitraire et les mêmes discriminations que la Droite en 2010. Pas étonnant qu’après les Roms, le gouvernement décide de s’en prendre à d’autres minorités.
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ce « cher monsieur » oublie d’ou il viens, c’est un immigré espagnol né a barcelone ayant acquis la nationalité francaise en 1982 http://fr.wikipedia.org/wiki/Manuel_Valls ses parents ont certainement fuis l’espagne a cause de la dictature du général franco
bref le valls une vrai pourriture à la mémoire courte…. très courte