Palestine : Que feriez vous si la France était colonisée ?

Que feriez vous, si demain un peuple venait à coloniser la France sous prétexte que cette terre lui appartiendrait conformément à ses textes religieux ?

Que feriez vous, si ces colonisateurs trouveraient un soutien international à toutes les exactions qu’ils commettraient pour vous expulser de votre Terre ?

Que feriez vous, si jour et nuit en plein mois sacré, vos enfants seraient réveilles par des bombes et des coups de téléphone vous annonçant la mort d’un proche ?

Que feriez vous, si l’on vous considérait comme terroriste alors que vous résistez à l’envahisseur en défendant votre terre ?

Que feriez vous si demain la France était colonisée ? 

C’est la question que pose cette infographie proposée par Jo Di Graphics, nous attendons vos réponses en commentaires.

colonisation-france

 

By Younes

29 thoughts on “Palestine : Que feriez vous si la France était colonisée ?”
  1. On défendrai la France même si elle a des défauts mais sachant qu’elle a beaucoup de qualités. En étant quand même chez nous sur notre territoire, nous pensons que les Français auraient fait de même que les Palestiniens, défendre et repousser l’ennemi même si cela resterai difficile ! Imaginez vous bien la division qu’il y aurait eu entre les Français ….

  2. Comme tout bon français.. Bahhh je collabores.. Je dénonces les résistants.. Et puis voilà.. Oups mes gouvernements successifs le font déjà.. Suis je bête?

  3. salam alaykum je pense que je ferais tout pour partir mais notre situation en france n’est pas comparable a la palestine etant donné que l’on se doit de faire la hijra . Or la palestine est une terre d’islam .

  4. As salamou alaykoum,

    ah! tout de suite c’est parlant et criant de vérité au sujet de « l’occupation » qu’ils nient farouchement.
    Leur passé de colonisateur y est peut-être pour beaucoup dans le refus absolu de reconnaître l’illégalité d’Israël. Eux pour qui les indigènes avaient besoin d’être civilisés pour être pillés de leurs biens, ou tout simplement réduits au silence quand la révolte se faisait jour.Hasbounallah wa ni3ma lwakil

  5. Je resisterais jusqu’à la fin … en espérant que d’autres pays viennent à notre secours face à ces crimes et surtout surtout je m’en remettrai à Dieu ♡♡♡ #freepalestineameen#

  6. pareil la hijra, je me serais sûrement battu pour la france, hélas la France nous méprise nous les musulmans…alors je ne vous pas pourquoi je me batterai pour un bled islamophobe! !

  7. Personnellement je pense que ces questions doivent être posées aux dirigeants et aux quelques personnes qui pensent qu’israël est en droit. Mais bref les mentalités auraient été différentes… la situation aurait été différente car ils se battaient jusqu’au bout et malheureusement c’est ça qu’ils reprochent aux palestiniens. triste réalité

  8. Salamou alaykoum,
    Dans un premier temps la France n’est pas une terre d’islam, et dans un second temps pourquoi se battre pour un pays dont le seul but est d’étouffer l’islam… Mais je pense que la vrai question qui se pose, c’est ô vous dirigeant de ce pays qui avait colonisé l’Algérie et perpétré des massacres que feriez-vous si on venait a vous colonisez en transgressant les lois internationales régies par l’ONU???

  9. Salam aleykoum,

    Excusez-moi de vous rappelez l’histoire, mais a moins que je sois été très nul à l’école, mais entre 1939 et 1945, la moitié de la france était colonisé par les allemand, et c’est des pays extérieur qui on libérer la france.

    Je vous rappel juste la relle raison de la guerre, (euh pardon, le génocide) qui a lieu actuellement :

    Israël attaque Gaza pour s’approprier le gaz palestinien (The Guardian)

    http://www.theguardian.com/environment/earth-insight/2014/jul/09/israel-war-gaza-palestine-natural-gas-energy-crisis?CMP=twt_gu

    Le ministre israélien de la défense a confirmé que l’opération militaire visant à « éradiquer le Hamas » a comme objectif de prendre le contrôle des réserves de gaz de Gaza.

    Hier, Moshe Ya’alon, actuel ministre israélien de la Défense et ancien chef d’état major des Forces de Défense Israéliennes a annoncé que l’Opération « Coussin de protection » était le début d’une large offensive contre le Hamas. L’opération « ne va pas durer seulement quelques jours » a-t-il dit, « nous nous préparons à étendre l’opération de toutes les manières possibles pour continuer à frapper le Hamas. »

    Ce matin, il a ajouté :

    « Nos frappes continuelles causent de lourdes pertes au Hamas. Nous détruisons des armes, des infrastructures terroristes, des systèmes de commande et de contrôle, des institutions du Hamas, des bâtiments du régime, des maisons de terroristes et nous tuons des terroristes dans les différents niveaux de commande… La campagne contre le Hamas s’étendra dans les jours prochains et l’organisation paiera un lourd tribut. »

    Mais en 2007, un an avant l’opération « plomb fondu », ce qui préoccupait Ya’alon, c’était les 40 milliards de m3 de gaz naturel, évalués à environ 3 milliards d’euros, découverts en 2000 au large de Gaza. Ya’alon rejetait l’idée que « le gaz de Gaza puisse devenir le vecteur d’un état palestinien viable au plan économique » comme étant « erronée ». Le problème selon lui était que :

    « La vente du gaz palestinien à Israël n’engendrera pas assez de richesse pour profiter à une population palestinienne très appauvrie. Par contre, si l’on en juge par le passé, elle permettra de financer d’autres attaques terroristes contre Israël…

    Une transaction sur le gaz avec l’Autorité Palestinienne [AP] devra, par définition, inclure le Hamas. Soit le Hamas pourra bénéficier des revenus engendrés, soit il sabotera le projet en lançant des attaques contre le Fatah, les installations de gaz et Israël – ou contre les trois à la fois… Il est clair que sans une opération militaire d’envergure pour mettre fin au contrôle du Hamas sur Gaza, on ne pourra procéder à aucun forage sans l’accord du mouvement islamique radical.. »

    L’opération « plomb fondu » n’a pas réussi à anéantir le Hamas, par contre elle a pris la vie de 1387 Palestiniens (dont 773 civils) et de 9 Israéliens (dont 3 civils).

    Depuis la découverte de pétrole et de gaz dans les Territoires Occupés, la compétition pour les ressources s’installe de plus en plus au coeur du conflit, à cause, surtout, des problèmes énergétiques croissants d’Israël.

    Selon Mark Turner, le fondateur de Research Journalism Initiative, le siège de Gaza et la pression militaire qui s’en est suivie avaient pour but « d’éliminer » le Hamas en tant que « entité politique viable à Gaza » pour induire un « climat politique » favorable à un accord sur le gaz. Cela impliquait de réhabiliter le Fatah vaincu, d’en faire le principal acteur politique en Cisjordanie et de « rééquilibrer le rapport de force entre les deux camps en armant les forces loyales à Abbas et en recommençant à lui octroyer une aide financière ciblée. »

    Les propos de Ya’alon de 2007 montrent que le cabinet israélien n’est pas seulement préoccupé par le Hamas – mais par le fait que si les Palestiniens parviennent à exploiter leurs gisements de gaz, la transformation économique qui en résultera pourrait alors augmenter considérablement leur pouvoir.

    Israël a fait plusieurs découvertes successives d’importance ces dernières années – comme par ex. le gisement Leviathan estimé à 453 milliards de m³ – qui pourrait faire passer le pays d’importateur d’énergie à exportateur potentiel d’énergie avec l’ambition de livrer l’Europe, la Jordanie et l’Egypte. Le problème est que la plus grande partie des 3 450 milliards de mètres cubes de gaz et des 1,68 milliard de barils de pétrole du Bassin du Levant se trouve dans des eaux territoriales disputées par Israël, la Syrie, le Liban, Gaza et Chypres.

    En plus de ces luttes régionales pour le gaz, Israël doit faire face à ses propres défis énergétiques, souvent méconnus. Ce ne sera sans doute pas avant 2020, par exemple, que le pays parviendra à mobiliser correctement la plus grande partie de ses ressources nationales.

    Mais c’est seulement la partie émergée de l’iceberg. En 2012, dans une lettre – que le gouvernement israélien a gardée secrète– deux responsables scientifiques du gouvernement israélien ont prévenu le gouvernement que Israël, malgré toutes ses extraordinaires découvertes, n’avait pas encore la capacité d’exporter du gaz. Selon Ha’aretz, la lettre précisait que les ressources nationales israéliennes étaient de 50% inférieures à ce qui serait nécessaire pour procéder à des exportations dignes de ce nom et qu’en plus elles pourraient diminuer avec les années :

    « Nous pensons qu’Israël aura augmenté sa consommation [nationale] de gaz naturel en 2020 et ne devrait donc pas exporter de gaz. Les estimations de l’Autorité de gaz Naturel sont inexactes. Il y a un fossé de 100 à 150 milliards de mètres cubes entre les projections de consommation qui ont été présentées au Comité et les projections plus récentes. Les réserves de gaz dureront sans doute moins de 40 ans ! »

    Comme Dr Gary Luft – un conseiller du Conseil de Sécurité de l’Energie Etasunienne – l’a écrit dans le Journal de la Sécurité Energétique, « avec l’accélération de la diminution des ressources nationales de gaz et sans une augmentation rapide des importations égyptiennes de gaz, Israël pourrait être confronté à une crise énergétique dans les années qui viennent… Si Israël veut pouvoir poursuivre ses projets de gaz naturel, il doit diversifier ses sources d’approvisionnement.  »

    Les nouvelles découvertes nationales d’Israël ne permettent pas de solutionner le problème dans l’immédiat parce que les prix de l’électricité ont atteint des records, ce qui accroît encore la nécessité de diversifier les approvisionnements. Ces problématiques sont la raison pour laquelle le premier ministre Netanyahou a déclaré le 11 février qu’il était temps de conclure un accord sur le gaz avec Gaza. Mais lorsqu’un nouveau cycle de négociations a été entamé avec l’Autorité Palestinienne, en septembre 2012, le Hamas a été exclu, et par conséquent il a rejeté l’accord comme illégitime.

    Au début de l’année, le Hamas a condamné l’accord que l’AP avait conclu avec Israël pour lui acheter 845 millions d’euros de gaz provenant du gisement Leviathan sur les 20 années qui suivront la mise en service du gisement. Simultanément, l’AP a rencontré plusieurs fois le British Gas Group pour exploiter les gisements marins de Gaza, mais en excluant le Hamas – et donc les Gazaouis – du processus. Ce plan est le bébé du délégué du Quartette du Moyen Orient, Tony Blair.

    Mais l’AP a aussi sollicité la compagnie russe Gazprom pour la même chose et des entretiens ont eu lieu entre la Russie, Israël et Chypres, sans qu’on sache au juste ce qu’il en est sorti. On ne sait pas non plus comment l’AP se propose de contrôler Gaza qui est gouverné par le Hamas.

    Selon Anais Antreasyan, du Journal des Etudes Palestiniennes de l’Université de Californie, la revue de langue anglaise la plus respectée de toutes celles qui traitent du conflit arao-israélien, l’étranglement israélien de Gaza a pour but de rendre « impossible l’accès des Palestiniens aux puits Marine-1 et Marine-2. » Le plan à long terme d’Israël « consiste non seulement à empêcher les Palestiniens d’exploiter leurs propres ressources, mais aussi à intégrer les gisements de gaz de Gaza dans les installations de forage en mer israéliennes adjacentes. » Tout cela fait partie d’une plus large stratégie consistant à :

    « …. séparer les Palestiniens de leur terre et de leurs ressources naturelles pour les exploiter et ainsi bloquer le développement de l’économie palestinienne. En dépit de tous les accords formels impliquant le contraire, Israël continue à gérer toutes les ressources naturelles qui sont nominalement sous la juridiction de l’AP, que ce soit l’eau, la terre, la mer ou les ressources en hydrocarbures.. »

    Pour le gouvernement israélien le Hamas continue d’être le principal obstacle à la finalisation de l’accord gazier. Comme le dit le ministre en exercice : « Notre expérience de la période d’Oslo nous a appris que les profits du gaz palestinien seraient sans doute utilisés pour financer le terrorisme contre Israël. Le Hamas n’est pas la seule menace… Il est impossible d’empêcher un groupe terroriste palestinien ou un autre de profiter peu ou prou de la manne gazière. »

    La seule option, par conséquent, est une nouvelle « opération militaire pour éradiquer le Hamas. »

    Malheureusement pour l’armée israélienne, anéantir le Hamas passe par la destruction de ce qui est perçu comme la base civile du groupe – et c’est pourquoi les victimes civiles palestiniennes sont infiniment plus nombreuses que les victimes israéliennes. Les deux camps ne valent pas mieux l’un que l’autre, mais la capacité de destruction d’Israël est simplement beaucoup plus grande.

    Après l’opération « plomb fondu », le Comité Public contre la Torture en Israël (Pcati) de Jérusalem a découvert que l’armée israélienne avait adopté une doctrine de combat plus agressive basée sur deux principes – « zéro perte » pour les soldats israéliens même si cela nécessitait de tirer tous azimuts dans des zones fortement peuplées et la « doctrine dahiya » qui prône le bombardement des infrastructures civiles pour infliger de grandes souffrances à la population et les inciter à se révolter contre les opposants à Israël.

    Cela a été confirmé dans les faits par la mission d’enquête diligentée par l’ONU à Gaza qui est arrivé à la conclusion que l’armée israélienne avait « délibérément fait un usage disproportionné de la force », contre les « infrastructures de soutien » de l’ennemi – « l’expression semble désigner la population civile », précise le rapport de l’ONU.

    Les ressources ne sont pas la seule cause du conflit israélo-palestinien. Mais à une époque où l’énergie renchérit, la compétition pour le contrôle des énergies fossiles régionales influence de plus en plus des décisions qui ont le potentiel de déclencher une guerre.

    Nafeez Ahmed

    Traduction : Dominique Muselet

  10. As salamu alaykom wa rahmatuLlah wa barakatuh în sha Allah je ferai la hijra et d’ailleurs bi idhni Lleh c’est ce que je ferai in sha Allah partir de Belgique et vivre dans un pays musulman Allahu a3lem

  11. c est une tres bonne question a laquelle je me suis jamais posee….je n.arrive pas a me. mzttre dans cette situation….en tt cas j aurais trop la haine de me voir comme la.Palestine a crier a l aide et que personne ne repond….je vois al.jazera la situation des Palestinien et sa fait vraiment froid dans le dos, et j ai un grznd respect aussi quand on voit la petitesse de leir artillerie comparee aux monstres de guerre cote Opresseur. je demand la JUSTICE. a ALLAH… je suis vraiement triste pour eux subbanallah..qu allah leur donne la.victoire prochainement

  12. Salam alaykoum,
    Oh non oum muslima ne dit pas ça in cha Allah, car le prophete sws nous a enseigné, que mourir pour une cause partisane (un pays quelconque même sois disant musulman) et non pour le nom d’Allah, équivaut à mourir dans la jajiliya.
    Donc oui la hijra en urgence non pour combattre si ce n’est avec les moudjahidines.

  13. Salam Y a quelque temps de ça je me serais battus pour la France .Mais la vue la mentalité islamophobe qu y règne depuis pas mal de temps j aiderais l envahisseur.

  14. Assalamualaykoum wa rahmatulahi wa barakatu , je n aurais certainement pas le courage de mes frères et sœurs palestiniens . Qu Allah leur vienne en aide , et nous guide. Il est vrai que la Palestine est une terre très chère a nos yeux , 3 eme lieu saint de l islam , elle n est pas comparable a cette pauvre France que je quitterai sans me retourner , le cœur léger . Qu Allah nous facilite pour partir de cette terre de koufr .

  15. Assalamoualaykoum wr wb merci BarrakAllahoufikoum pour cette infographie, personnellement si sa aurait eu lieu j’aurais dialogué, fait dawaa, mais avec force et si il ne veulent pas entendre alors j’aurais combattu bi iznillah, sans attentat sans opération suicide. avec la consultation des gens pieux et d’Allah.

  16. Assalamo alaykoum, Abou dujana, quand je dis me battre, ça n’aurait pas été dans la niya de défendre une terre de koufars mais plutôt dans le but de combattre une injustice surtout si ce pays respecte ma pratique religieuse et défend la cause des musulmans (un peu comme l’Abyssinie à l’époque de la première hijra)… le coran ne dit t’il pas « Allâh ne vous défend pas d’être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allâh aime les équitables. Allâh vous défend seulement de prendre pour alliés ceux qui vous ont combattus pour la religion, vous ont chassés de vos demeures et ont aidé à votre expulsion. Et ceux qui les prennent pour alliés sont les injustes. » sourate al mumtahinah. wa Allaho ahllam

  17. La france à la bombe atomique, des chasseurs, des chars donc pas besoin de se battre à coup de mitraillette un bon coup de persuasion et basta …

  18. En toute honnêteté, je quitterai la France pour rentrer à mon pays, au moins combattre auprès des miens serait mieux!!! Allahu a3lem et si je me trompe dans ma réflexion que Dieu me pardonne…

  19. Je ne me battrais pas pour la France qui soit disant à reconnu l’état palestinien mais qui n’ose rien dire à Israël mise à part  » il faut que cela cesse »

  20. Salam,

    Je veux bien vous écoutez, mais apprenez aussi à écouter les autres,

    En ce qui concerne 2014, apprenez qu’il y a des juifs, des chrétiens et des musulmans qui vivent sur le territoire Israelien aujourd’hui.

    Pour ce qui est de l’histoire, en 1922, les Britanniques avaient recensé en Palestine Mandataire (Jordanie, Cisjordanie, et Israël) : 652 000 Palestiniens, soit 289 000 Musulmans, 283 000 Juifs, 71 000 Chrétiens, et 8 000 personnes d’autres appartenances. Soit à peu près autant de juifs que de musulmans, hormis à Jérusalem où le Consulat Britannique reportait en 1859 que les Musulmans de Jérusalem n’excédaient pas un quart de la population.

  21. Il fut un temps ou je me serai sûrement battu mais aujourd’hui je ne veux pas je la quitterai et la laisserai la France a tué des millier de personne en Algérie aussi ne l oublions pas aujourd’hui on ns insulte et on ns dit de rentrée chez ns pourquoi la défendre ??

  22. ca rappel une certaine france libre . france occupé a l’époque de l’occupation allemande sans commentaire l’image parle d’elle même

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