Le 18 février dernier, nous vous parlions du cas d’Ali Belhadad, un citoyen d’origine algérienne expulsé de France en 2012 sans aucun motif sérieux.
Le ministère de l’Intérieur, alors dirigé par Claude Guéant, avait parlé d’une « nécessité impérieuse pour la sûreté de l’Etat » en avançant que M. Belhadad était lié à divers réseaux terroristes . Il s’agissait tout au plus de donner l’illusion de faire quelque chose d’utile après les assassinats du suspect Mohamed Merah, et à la veille de l’élection présidentielle.
Bonne nouvelle, notre frère Ali Belhadad a pu rentrer en France le 7 mai dernier et retrouver sa femme et ses filles qu’il n’avait pu voir depuis son expulsion, se déclarant encore « sous le choc ».
Il aura fallu attendre février 2014 pour que le tribunal administratif de Paris déclare que l’arrêté d’expulsion était entaché « d’excès de pouvoir« , estimant qu’il n’y avait définitivement aucun « soupçon sérieusement justifié » contre l’accusé.
Son avocat déplore que M. Claude Guéant n’ait aujourd’hui pas à répondre de sa décision. En effet, malgré la plainte déposée à son encontre, l’ex-ministre n’a pas été poursuivi.
Assalam aleykoum, machâ Llah! Allahu akbar il y a une justice divine et elle est bien au dessus de la leur. Ils répondront de leur acte un jour voilà une chose dobt on a la certitude! Qu’Allah préserve notre frère et sa famille
Salam inchallah qu’il a aimée son séjour en terre musulmane et qu’il et envie de repartir avec toute ça famille