Depuis une quinzaine de jours, l’Angola est accusé de mener une répression contre les musulmans. Faisant la une de plusieurs quotidiens, le gouvernement angolais a décidé de démentir cette information. Or, nous ne pouvons ignorer que les faits sont bels et bien présents dans le pays africain.
En effet, la communauté islamique de l’Angola (ICA) déclare que huit mosquées ont été détruites dans le pays en quelques mois. Quant aux mosquées fermées, elles le sont toutes sauf celles de la capitale, pour l’instant…
De plus, les femmes n’ont pas le droit de porter le hijab et celles qui s’opposent à cela font l’objet de menaces et de violentes agressions. En effet, un responsable de l’ICA rapporte que des sœurs portant le hijab ont été ruées de coups et menacées, les agresseurs leur ordonnant de quitter le pays. Il n’y a pas de loi officielle concernant l’interdiction du voile islamique mais les angolais font bien comprendre aux musulmanes que leur voile et leur foi ne sont pas les bienvenus.
Par ailleurs, tout individu pratiquant l’Islam sur le territoire angolais est accusé de violer le code pénal. La loi angolaise ne reconnaît pas le statut de l’Islam. Les musulmans sont donc dans l’illégalité juridique. C’est en ce sens que le président de la Communauté islamique de l’Angola (ICA), a fait l’annonce suivante : « nous pouvons dire que l’Islam a été interdit en Angola. Vous devez être 100 000 musulmans afin que l’Islam soit reconnu comme une religion. Sinon, vous ne pouvez pas prier officiellement. » Les musulmans angolais étant au nombre de 90 000, leur prière tout comme leur pratique religieuse au sens large, est considérée comme illégale par le gouvernement.
Rappelons que le président angolais, José Eduardo dos Santos est le second plus ancien chef d’État africain avec 34 ans au pouvoir. Il a été accusé à plusieurs reprises de corruption et de violation des droits de l’homme. Cela en dit long sur le personnage et sur sa politique.
Dans ces conditions les pays musulmans doivent simplement rompre leurs relations diplomatiques avec ce pays, et accueillir les musulmans angolais dans leurs pays. Les immigres mauritaniens sont menaces par ces nouvelles mesures.
A salam aleikoum celui ou celle qui veux se faire une bonne ou mauvaise réputation ou pour qu’il soit médiatiser parle de l’islam notre religion est devenu un élément incontournable de cette société. Ce soit disant pour être réconforter sur son trône il faut qu’il occupe son peuple.
assalamoualeykoum je me permets de vous donner ce lien car je n’ai pas vu l’info dans les medias islamiques.barakaallahoufikoum http://www.macommune.info/article/tags-racistes-sur-le-lycee-tristan-bernard-une-incommensurable-betise-humaine-92189
Et bien on attend toujours les pays musulmans romprent ou condmner ces agissements, on n’attend même pas d’eux qu’ils les accueillent comme l’aurait fait n’importe quel grand kalife de l’islam. Par contre les pays musulmans seront les premiers à condamner ………….. allah mousta’ene
@ dialaygueye;
Salam’alikoum
Malheureusement il ne faut pas s’attendre à ce qu’un Etat musulman rompe ses relations avec l’Angola ou tout autre pays opprimant les musulmans… Encore moins des états musulmans les plus riches (notamment golfe).
Avez-vous entendu parler de beaucoup de pays musulmans rompre ses relations avec la Birmanie suite au génocide qu’il fait subir à sa minorité musulmane ? Personnellement, aucun. Au contraire, certains se sont empressés pour faire du business avec la Birmanie; c’est le cas par exemple du Qatar, dont l’entreprise de téléphonie Oreedoo (ex Q-tel) a acheté une licence de téléphonie mobile afin de construire et exploiter le réseau birman.
Et la même question pourrait se poser pour la France, dont différentes lois et actes islamophobes ont bizarrement été concordants avec la multiplication des relations/investissements avec les pays du golfe.
Mandela est mort .