Le confinement décrété contre la pandémie de coronavirus entraîne certaines conséquences. La rédaction de ajib.fr s’est penché sur le coté positif de cette situation exceptionnelle.

Les voitures ne roulent plus, les usines sont presque toutes à l’arrêt, les transports en commun tournent au ralenti et de plus en plus d’avions restent cloués au sol.

La planète respire à nouveau

Le confinement de nombreux pays a redonné ses droits à la nature avec cette crise du coronavirus.

En effet partout où l’Homme s’est retiré, la planète a repris ses droits.  La planète respire comme jamais depuis longtemps.

Les photos du satellite de la mission Copernicus Sentinel-5P prises au-dessus de la Chine et l’Italie parlent d’elles-mêmes: les nuages de dioxyde d’azote et de carbone ont presque disparus avec l’arrêt des activités industrielles et humaines due au confinement.

La diminution du bruit

À Paris, on entend désormais les oiseaux : «On retrouve des sons qu’on n’avait pas et qu’on ne prenait pas l’habitude d’entendre à Paris, comme les chants d’oiseaux».

En outre, les riverains des chantiers à l’arrêt, en particulier ceux du Grand Paris Express, peuvent profiter de ce silence inattendu, apaisant et réparateur.

Constat similaire en Italie. Mardi 17 mars, le programme européen de surveillance de la Terre, Copernicus, a indiqué que le dioxyde d’azote réduirait de manière « graduelle d’environ 10% par semaine au cours des quatre à cinq dernières semaines ».

Une forte diminution du trafic fluvial

Certains habitants ont ainsi filmé le retour des dauphins dans le port de Cagliari, en Sardaigne.

À Venise les touristes et les vaporettos ne font ‘plus la loi’, et où les eaux du canal ne sont plus remuées à longueur de journée. Des eaux qui sont depuis claires et limpides. Du jamais vu depuis plusieurs décennies.

La qualité de l’air

La principale source de pollution est le trafic automobile. Avec la mise en place du confinement et le recours massif au télétravail, l’utilisation des transports en commun a considérablement baissé dans les grandes villes.

La pollution de l’air, la pollution sonore et la pollution lumineuse sont des fléaux pour la santé des populations ainsi que pour la biodiversité et la nature.

On le sait la pollution fragilise les voies respiratoires, et c’est forcement une bonne chose que de moins polluer à l’heure où nos organismes ont besoin de répit.

Après la Chine et l’Italie, la France devrait connaître incha Allah, elle aussi, une baisse significative de sa pollution.

Dans l’épreuve il est bon de voir le bon coté des choses sachant que tout ce qui nous touche ne peut se faire que par la permission d’Allah, Exalté, soit-Il …

By Younes

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