Un pèlerin pakistanais exemplaire aux côtés de son père lors des rites de lapidation des trois jamarats.
Les trois Jamarats qui sont composées de la mineure, la médiane et la grande qui est la plus proche de Mekka Al Moukarrama.
Des stelles qui représentent shaytane et que l’on doit frapper à l’aide de sept cailloux chacune, tout en invoquant le Tout Puissant longuement après les premiers et les seconds jets.
Une photographie qui a été prise près d’une des entrées proche des Jamarats ou l’on voit un fidèle tirant à l’aide d’une corde une chaise roulante avec à son bord un homme âgé prenant la direction du pont de Jamarat.
Renseignements pris auprès du jeune homme, il s’avérerait que la personne sur le fauteuil roulant est son paternel, et que le fils dévoué sait très bien que quels que soient ses efforts il ne sera jamais en mesure de rendre ce que son papa lui procuré tout au long de sa vie.
Le bon comportement fait partie des obligations du musulman qui se doit d’emboîter les pas du Prophète Muhammad (SAW).
‘Aïcha que Allah l’agrée a dit dans la description du Prophète (SAW) : « Il n’était pas vulgaire, il n’était pas indécent, il n’était pas de ceux qui levait la voix dans les marchés et il ne répondait pas à un mauvais acte par un mauvais acte, cependant il pardonnait ».
L’importance du bon comportement envers les parents en Islam.
Aider ses parents à accomplir le Hajj : c’est clairement une action extraordinaire et méritoire macha Allah. Les parents étant les personnes qui ont subi souffrances sur souffrances avant et pendant notre mise au monde, les accompagner lors du Hajj est ce qu’on pourrait « le minimum syndical » pour espérer égaliser les efforts qu’ils ont endurés pour nous.
Étant à la rédaction de Ajib.fr naturellement admiratifs de cette belle action, nous vous proposons de revenir sur un récit illustrant ce type d’acte exemplaire.
‘AbduLlah ibn ‘Umar (qu’Allah l’agrée) vit un jour, lors du pèlerinage, un musulman prendre sa mère sur son dos et faire le tawaf autour de la Ka’ba. Alors, il appela cet homme et lui demanda qui était cette dame qu’il portait sur son dos. L’homme lui répondit que c’était sa mère et il demanda à ibn ‘Umar (qu’Allah l’agrée) s’il s’était acquitté ainsi de ses devoirs, de sa dette, vis-à-vis de sa mère. ‘AbduLlah ibn ‘Umar (qu’Allah l’agrée) lui répondit : « Par Allah ! Tu ne t’es même pas acquitté d’un seul cri que ta mère a poussé le jour où elle t’a mis au monde.» Dans une autre version, on trouve « Ceci n’équivaut même pas à une seule de ses contractions (lors de l’accouchement) ! Mais tu as bien fait, et Allah est capable de bien te récompenser pour le peu ».
Qu’Allah nous permette d’être bienfaisants envers nos parents. Qu’Il nous pardonne et fasse de nous des serviteurs pieux et obéissants.